Barthélémy Dias a invité ce samedi, le Président Macky Sall à ne pas briguer un troisième mandat. « Comme vous avez demandé à ce qu’on vous demande, alors svp, on vous demande de ne pas briguer le 3e mandat. Je vous demande d’évacuer cette question concernant cette volonté qui vous est prêtée de vouloir briguer un 3e mandat », a déclaré le maire de Dakar.
J’avais vu venir et j’avais prévenu d’ailleurs. L’heure est grave mais nous allons nous en sortir. Je ne voudrais pas commenter une parodie de justice. Tout le monde sait à quel point la justice est prompte à exécuter des commandes politiques. Le peuple souffre de beaucoup de ses décisions ». C’est ainsi que le Maire de Dakar, Barthélémy Dias a commencé son adresse aux Sénégalais, hier
Le chef de l’Etat avait déclaré que si on le lui demandait en toute courtoisie, il pourrait accéder à leur demande de ne pas briguer un troisième mandat, lors de l’ouverture du dialogue national.
Barthélémy Dias dit ne pas vouloir parler de condamnation mais de disqualification et d’élimination d’un candidat parce que ce qu’ils veulent, c’est organiser une sélection à la place d’une élection. « La constitution vous permet d’organiser des élections et ne plus en faire partie. Il faut que la sélection cesse » dit-il.
Moustapha Diakhate’ merci
Le Sénégal est attaqué par des ennemis de l’intérieur et de l’extérieur. Ce qui se passe dans notre pays est une insurrection terroriste organiser par Ousmane Sonko et le Pastef.
Les violences perpétrées au Sénégal ne sont pas des manifestations de soutien à une cause ou des réactions de mécontentement politique ou social. Il s’agit d’une insurrection terroriste perpétrée par des hordes d’insurgés qui ciblent les points névralgiques pour paralyser le pays : infrastructures, transports, eau, électricité, aéroports, banques. C’est du terrorisme insurrectionnel.
Face à ces actes terroristes et insurrectionnels d’Ousmane Sonko, la réponse de la République doit être implacable. Il s’agit de qualifer le Pastef d’organisation terroriste, procéder à sa dissolution et l’arrestation de tous ces responsables.
L’autorisation doit être aussi donnée aux vaillantes forces de défense et de sécurité de traiter comme terroristes tous ceux qui s’attaquent à des biens publics, privés nationaux ou étrangers.
Le Président de la République doit engager la procédure parlementaire pour criminaliser, sans délai, avec effets rétroactifs pour punir les auteurs et commanditaires des actes de destruction des biens publics comme privés nationaux et étrangers.
L’Etat doit déclarer le parti Pastef organisation terroriste et procéder à sa dissolution de même que ses satellites comme Frapp-France dégage et à l’arrestation de tous ces responsables y compris les députés.
Les collectivités territoriales qui sont dirigées par Pastef doivent être dissoutes et confiées à des délégations spéciales.
Les relais locaux, médiatiques ou non de la vermine terroriste et insurrectionnelle de Pastef, doivent être mis hors état de nuire. Une purge des membres de Pastef doit être opérée dans l’administration, appareils et structures de l’Etat.
Le Président de la République doit proposer aux participants du dialogue une déclaration condamnant les actes terroristes et insurrectionnels de Ousmane Sonko.
Le Président de la République doit aussi instruire son gouvernement de rencontrer la Représentation nationale, le corps diplomatique, les communautés religieuses, partis politiques, centrales syndicales et organisations patronales pour leur expliquer et faire le bilan des actes et manœuvres terroristes perpétrés par Ousmane Sonko et ses acolytes pour déstabiliser le Sénégal.
Les opérateurs économiques qui financent les activités subversives de Pastef doivent recherchés, arrêtés et leurs entreprises fermées.
Diaz , quel est le lien avec un mandat
Nous vivons une histoire de fesse qui debouche sur un appel a’ l’insurrection et vous parlez de 3eme mandat.
Tu es vraiment un fils de chien.
Un criminel chef des voleurs comme Sonko il faut le traiter comme tel
Sonko est un parasite, il a fait notre societe’ reculer dans le temps
Jamais de memoire de Senegalais nous avons eu ce genre d’anarchie comme des sauvages
Il doit etre execute’ en public pour le bien de la societe’