Récemment, la sortie d’Abnousse Shalmani, a déclenché une vive polémique. Lors de son intervention de ce mercredi 20 novembre dans l’émission « 24h Pujadas », la journaliste franco-iranienne a fait une analyse sur la situation politique et socio-économique au Sénégal sans pour autant maîtriser les sujets et l’actualité.
En réaction aux élections législatives du 17 novembre 2024 et sur l’actualité politique du Sénégal. La sortie de la journaliste Abnousse Shalmani a suscité de nombreuses critiques, notamment sur les réseaux sociaux, où plusieurs internautes ont relevé des contre-vérités importantes dans son discours.
Selon des informations, cette dernière a évoqué les violences survenues pendant la campagne électorale, en accusant Ousmane Sonko d’avoir « tranquillement appelé à la vengeance proportionnée ». Cette déclaration, bien qu’en partie basée sur les propos de Sonko, omet de contextualiser ses paroles. En effet, le Premier ministre avait dénoncé à plusieurs reprises les attaques subies par ses partisans pointant l’absence d’interventions des autorités compétentes. Il avait même prévenu que si les agressions continuaient sans que des mesures de sécurité ne soient prises, il ne pourrait empêcher ses militants de réagir.
Cependant, il avait rapidement appelé au calme après l’arrestation de plusieurs individus liés à ces violences, y compris des proches de Barthélémy Dias, maire de Dakar et figure politique de l’opposition. Cette nuance capitale a été ignorée par Shalmani, renforçant une perception biaisée des faits.
La chronique d’Abnousse Shalmani, diffusée sur LCI , a déclenché une vive polémique. Lors de cette intervention de ce mercredi 20 novembre dans l’émission » 24h Pujadas », la journaliste franco-iranienne a analysé la situation politique et socio-économique au Sénégal, en réaction aux élections législatives du 17 novembre 2024. Son propos a suscité de nombreuses critiques, notamment sur les réseaux sociaux, où plusieurs internautes ont relevé des contre-vérités importantes dans son discours. Retour sur les faits et décryptage. Abnousse Shalmani évoque dans sa chronique les violences survenues pendant la campagne électorale, en accusant Ousmane Sonko, Premier ministre du Sénégal, d’avoir « tranquillement appelé à la vengeance proportionnée ».
Cette déclaration, bien qu’en partie basée sur les propos de Sonko, omet de contextualiser ses paroles. Le Premier ministre avait dénoncé à plusieurs reprises les attaques subies par ses partisans lors de rassemblements, pointant l’absence d’interventions des autorités compétentes.