Top Infos Rewmi du 15/07/2024

Top Infos Rewmi du 15/07/2024: Un étudiant arrêté avec 27 plaquettes….Affaire de l’enfant mort noyé à Touba…Bassirou Diomaye Faye nomme Abdoulaye Bathily Envoyé spécial…Tentative d’assassinat de Trump….Un infirmier-chef de poste et un ambulancier arrêtés…

Bassirou Diomaye Faye nomme Abdoulaye Bathily Envoyé spécial

Le président de la République a annoncé samedi qu’il avait désigné Abdoulaye Bathily comme son envoyé spécial pour les questions internationales. Bassirou Diomaye Faye a répondu à une question lors d’un entretien avec la presse nationale concernant la démarche qu’il adoptera pour la mission de médiation entre la CEDEAO et les pays de l’AES. Faye a expliqué qu’il avait convaincu le professeur Abdoulaye Bathily d’accepter le rôle d’envoyé spécial, non seulement pour la mission de médiation impliquant la CEDEAO mais aussi pour d’autres missions où son expérience et sa stature internationale seraient précieuses.

Abdoulaye Bathily a une longue carrière au sein du gouvernement sénégalais, incluant des postes tels que Ministre d’État à la présidence, chargé des affaires africaines (2012-2013), Ministre de l’Énergie et de l’Hydraulique (2000-2001), et Ministre de l’Environnement et de la Protection de la Nature (1993-1998). Élu à l’Assemblée nationale en 1998, il en a été le Vice-Président de 2001 à 2006 et membre du Parlement de la CEDEAO (2002-2006).

Un étudiant arrêté avec 27 plaquettes

Le commissariat de Jaxaay a déféré au parquet, l’étudiant M.Diop pour trafic de haschisch portant sur 27 plaquettes. Le dealer a été arrêté par les hommes du commissaire Youssoupha Thioub, suite à l’exploitation d’un renseignement. La police de Jaxaay a porté un nouveau coup dur dans le milieu interlope. Tout a commencé lorsque le limier en chef a été informé d’un intense trafic de haschisch entretenu par un étudiant établi à Almadie 2. Séance tenante, un limier, habillé en civil, est entré en contact avec le dealer en passant une commande de quatre plaquettes. Ne se doutant de rien, M.Diop a débarqué sur les lieux du rendez-vous où il a été interpellé en possession de 27 plaquettes de haschisch. Interrogé sur procès-verbal, l’étudiant incriminé a reconnu son statut de dealer avant de balancer l’identité de son fournisseur établi à Ngor.

Un infirmier-chef de poste et un ambulancier arrêtés…

L’ambulance du poste de santé de Walalane est impliquée dans un accident mortel. Le drame est survenu ce dimanche au quartier Médinatoul. À cet effet, les éléments du commissariat central de Diourbel ont procédé à l’arrestation de l’infirmier-chef de poste de cette localité située dans la commune de Tocky Gare et l’ambulancier. Ils ont été placés en garde à vue par les hommes du commissaire Mor Ngom. Il ressort des premiers éléments de l’enquête que l’ambulance avait remorqué un car qui s’est détaché avant de finir sa course dans un daara, selon des sources proches du dossier. L’accident a fait un mort et deux blessés.

Tentative d’assassinat de Trump

Des explosifs ont été retrouvés dans la voiture de l’auteur présumé des tirs ayant visé Donald Trump samedi en Pennsylvanie, ont affirmé dimanche plusieurs médias américains citant des sources au sein des forces de l’ordre. Les autorités, qui tentent toujours de déterminer le mobile du suspect, ont retrouvé du matériel explosif dans son véhicule, garé près du lieu du meeting où ont eu lieu les faits, indiquent le Wall Street Journal et la chaîne CNN.

L’ancien président Donald Trump a été la cible de coups de feu lors d’un meeting en Pennsylvanie le samedi 13 juillet. De hauts responsables du Parti républicain accusent les démocrates, et en particulier le président Biden, d’avoir nourri le climat de tension qui a conduit à l’agression. La campagne pour la présidentielle du mois de novembre, déjà très dure, se tend encore un peu plus.

Affaire de l’enfant mort noyé à Touba

L’affaire de l’enfant retrouvé mort noyé dans un bassin à Darou Miname continue de défrayer la chronique. La nébuleuse est restée à l’état, malgré les derniers développements. Récemment, il y’avait une vidéo dans laquelle la maman de l’enfant avouait avoir posé son bébé sur les rebords du bassin pour lui éviter de souffrir des rayons du soleil et des piqûres des fourmis alors qu’elle s’affairait à la cuisine.

À son retour, disait-elle, l’enfant était déjà dans le bassin. Cette déclaration au parfum d’aveu « a été faite par une fille affolée et manipulée par des adultes dont le père de son époux ». C’est Cheikh Lô , grand frère de A . Lô qui en fait la révélation. À l’en croire, la jeune maman a été amenée à faire une telle déclaration sous de fausses promesses et à l’insu de ses parents. Ce qui, selon lui, prive ce qui est considéré comme un aveu de toute valeur juridique. Un extrait de son message qu’il a personnellement soumis à notre appréciation.

Des employés de Sécuriport entendus à la DIC

Des employés de la société de sécurité aéroportuaire américain, Securiport se sont retrouvés à la DIC pour une affaire de diffamation. D’après nos sources, les délégués sont accusés d’être les responsables de la citation de leur entreprise récemment dans un quotidien de la place avec pour seul motif d’attirer l’attention de l’État du Sénégal sur l’entreprise dont le contrat tire à sa fin. Depuis des années, les employés ne s’entendent plus avec la direction de Sécuriport. Il y a quelques mois, les employés de Securiport Sénégal avaient haussé le ton pour dénoncer la discrimination raciale, professionnelle et salariale au sein de l’entreprise.

Affiliés au Syndicat des Personnels des Activités Aéronautiques du Sénégal (Synpaas) de l’Aéroport International Blaise Diagne (AIBD), les travailleurs avaient alerté sur une bamboula. Le syndicat dénonçait à l’époque des conditions de travail insoutenables imposées aux agents sénégalais doublées d’affectation injustifiées avec des salaires insignifiants. Les délégués ont toujours accusé l’entreprise qui assure la sécurité des voyageurs à l’Aéroport international de Diass, de mauvais traitements. Des accusations que Securiport avait démenti. Avec ces convocations à la DIC, c’est une nouvelle bataille qui s’ouvre au sein de l’entreprise.

Un ancien militaire tue trois personnes avant de se suicider

Un ancien militaire tireur d’élite a ouvert le feu samedi soir dans le centre de la France, tuant trois personnes qui célébraient une fête d’anniversaire dans une maison voisine, avant de retourner l’arme contre lui. Les enquêteurs s’emploient à comprendre le « comment et le pourquoi » de ce qui s’est passé dans le hameau de Vozelle, une commune résidentielle de l’ouest de Vichy, lors d’une fête familiale organisée à l’occasion du vingtième anniversaire d’un jeune homme, selon les éléments obtenus auprès de la préfecture de l’Allier (centre).

Vers 21h30 (19H30 GMT) samedi, un voisin qui ne participait pas à l’anniversaire est apparu sur un chemin reliant son domicile à la maison où se tenait la fête avant d’ouvrir le feu, a indiqué à l’AFP le procureur de Moulins, Jérôme Piques. Il s’est déplacé « en ouvrant le feu sur plusieurs centaines de mètres de son domicile vers celui de ses voisins », a précisé le parquet de Cusset. Le jeune homme qui fêtait son anniversaire, ainsi que son père, 53 ans, et son parrain, 54 ans, ont été tués. Selon la préfecture, quatre personnes ont été également blessées mais leur pronostic vital n’est pas engagé.

Un ancien militaire tue trois personnes avant de se suicider (Suite)

« L’hypothèse la plus probable » est que l’assaillant ait « retourné l’arme contre lui après avoir tiré », a déclaré M. Piques. Selon le maire de la commune, Michel Marien, l’auteur des tirs est un ancien militaire qui a participé à « des conflits lourds, comme l’Afghanistan, et dans les tireurs d’élite ». « Il y avait visiblement une profusion d’armes chez lui », a-t-il dit au quotidien local La Montagne. Interrogé par l’AFP, le parquet de Cusset a dit ne pouvoir « ni confirmer ni infirmer » les déclarations du maire. « Il vivait reclus, en pleine nature », sa maison se trouvant loin de celle des victimes, a ajouté le maire, ne croyant donc pas qu’un éventuel tapage nocturne soit à l’origine du drame. Le tireur, qui a utilisé une arme à feu à plomb, est « a priori » inconnu des services de police et de justice, a indiqué le procureur, selon qui il n’y a pas eu d’échanges de coups de feu.