La mesure concerne 296 personnes condamnées – détenues ou non – et était l’une des « conditions » posées par des groupes rebelles pour participer au dialogue national. La junte militaire au pouvoir au Tchad a décrété, lundi 29 novembre, une « amnistie générale » pour les rebelles et opposants condamnés notamment pour « délits d’opinion », « terrorisme » ou « atteinte à l’intégrité de l’Etat », …
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