« Depuis que le président Sall a mis à terre son projet de faire de l’Assemblée son tremplin vers le pouvoir, Mimi ne décolère pas contre ses anciens camarades », selon le mouvement des élèves et étudiants républicains. Le mouvement des élèves et étudiants républicains (MEER) est monté au créneau jeudi pour répondre à l’ancienne Première ministre Aminata Touré après sa sortie de mercredi exigeant la démission de Macky Sall à la tête de l’APR.
Dans un communiqué, le MEER soutient que Mimi Touré s’est encore livrée à son jeu favori notamment « plaire au nouveau maître pour rentrer dans ses bonnes grâces ». Le mouvement des élèves et étudiants républicains MEER est monté au créneau jeudi pour répondre à l’ancienne Première ministre Aminata TOURÉ après sa sortie de mercredi exigeant la démission de Macky SALL à la tête de l’APR.
Dans un communiqué, le MEER soutient que Mimi TOURE s’est encore livrée à son jeu favori notamment « plaire au nouveau maître pour rentrer dans ses bonnes grâces ». « En effet, depuis que le Président SALL a mis à nu et à terre son funeste projet de faire de l’Assemblée Nationale son tremplin personnel vers le pouvoir, quitte à déstabiliser l’Institution parlementaire, Mimi ne décolère pas contre ses anciens camarades. Et comme pour exceller dans la médiocrité et la méchanceté, qui souvent d’ailleurs vont ensemble, elle cherche à faire feu de tout bois dès qu’il s’agit du Président SALL ou de l’APR », peut-on lire.
« C’est bien malheureusement ce qui arrive à celle que le Président SALL a honorée au-delà de ses fausses compétences à chaque fois alléguées comme pour nous en imposer et surtout, au-delà de son poids politique et électoral nul, y compris, quand elle a eu l’insigne privilège d’avoir été choisie tête de liste nationale, humiliée et battue dans son propre bureau de vote par ses bourreaux d’alors, ceux-là qu’elle sert maintenant avec zèle et toute honte bue », soulignent le député Abdoulaye DIAGNE et camarades.
Ces derniers rappellent leur ancienne première ministre d’avoir d’oublier qu’elle « doit sa carrière et les titres politiques dont elle s’autoglorifie à la seule volonté de celui qu’elle voue ingratement aux gémonies promettant qu’ils ne laisseront jamais des loosers vindicatifs s’en prendre à notre leader et notre parti ».