Le journaliste Omar Faye, défenseur de la communauté des LGBT basé à Londres risque gros.
Une plainte de l’Ong Sénégalaise JAMRA l’attend au Sénégal.
Omar Faye, gaffeur impénitent vient encore de provoquer la colère de toute la communauté musulmane en prônant la tolérance pour les LGBT.
Le vice-président de JAMRA, Mame Mactar Guèye estime opportun que des mesures coercitives soient appliquées au sieur Omar faye, exilé à Londres depuis quatre ans.
Directeur de publication du support médiatique pro-Lgbt, «Indépendant News», JAMRA lui reproche de servir à satiété comme plateforme lance-missiles pour fustiger les dispositions légales librement adoptées par le Sénégal, pour sauvegarder nos bonnes mœurs et protéger nos valeurs ancestrales contre l’invasion LGBT.
Selon JAMRA, Omar Faye se plait à se répandre dans les colonnes de son magazine en diatribes virulentes contre son propre pays, il se fait surtout l’avocat du diable face aux inacceptables frasques de ses « protégés ».
Journaliste et militant des droits des homosexuels et des lesbiennes, le Sénégalais Omar Faye est engagé dans la défense des droits des minorités sexuelles de son pays et dans le monde.
Cette requête de JAMRA risque de lui porter préjudice et d’avoir de graves répercussions sur sa vie familiale.
Cette sortie de Jamra reprise par les médias en ligne le dessert et il risque gros.
En réalité, Omar Faye risque la prison une fois au Sénégal.
A signaler qu’à cause de Jamra, beaucoup de gens sont allés en prison.
C’est dire que l’affaire Omar Faye prend une dimension internationale.
Il est vomi par sa famille, laquelle estime que Omar Faye ne s’accommode ni des principes socioculturels du Sénégal, ni des normes règlementaires des communautés religieuses, ni de valeurs républicaines.
Il est qualifié d’agreste et de bucolique et il s’impose en grenier de stupidités. Omar Faye ne cesse de crépier contre les Chefs religieux.
Il révolte la communauté musulmane par sa position en déphasage de nos valeurs.
Nous vous reproduisons in extenso la déclaration de Jamra.