L’ affaire sur les rapports de la Cour des comptes sur la gestion des finances entre 2019 et 2023 secoue toujours l’actualité. Récemment, l’ancien ministre des Transports terrestres, Mansour Faye, a fait une sortie et à exprimer ses préoccupations. Ce dernier n’a pas hésité à prendre Ousmane SONKO comme le principal fautif de tous les problèmes sur l’état des finances publique. Selon lui, le pays traverse une grave crise et l’avenir semble incertain.
Dans une intervention très critique, l’ancien ministre des Transports terrestres, Mansour Faye, a exprimé ses préoccupations quant à l’état des finances publiques, à la suite de la publication du rapport de la Cour des comptes sur la gestion des finances durant les cinq (05) dernières années.« Notre pirogue tangue dangereusement ! », pense Mansour Faye qui a dénoncé les graves difficultés économiques auxquelles le Sénégal est confronté.
Il a souligné l’augmentation du coût de la vie, la pauvreté croissante, le chômage en hausse et la situation désastreuse de la campagne agricole. Il a aussi évoqué les retards de paiement des bourses de sécurité familiale, affectant plus de 355 000 ménages, soit environ 4 millions de Sénégalais. Il dénonce également l’absence de perspectives pour les jeunes, qu’il considère comme étant manipulés et trompés.
En plus de ses critiques économiques, Mansour Faye a réagi au rapport de la Cour des comptes récemment publié, qu’il accuse d’être un « faux rapport » commandité par le Premier ministre Ousmane Sonko.
A cet effet , Mansour Faye suggère que ce rapport ne constitue qu’un prétexte pour une « chasse aux sorcières » qui risque d’aggraver les tensions sociales dans le pays. Pour l’ancien ministre, ce rapport n’apporte aucune solution substantielle aux problèmes du pays.
Sur ce, il appelle les Sénégalais à se ressaisir et à rejeter ce qu’il considère comme une manipulation, en exigeant des réponses claires et responsables pour sortir le pays de l’impasse actuelle. Pour lui, il est grand temps que les citoyens « disent stop » aux menaces et intimidations qui, selon lui, menacent la cohésion sociale et la stabilité du Sénégal.
Cher beau frère la chambre n°9 du secteur est prête pour t’accueillir en prévention et celle n°1 de Kédougou pour une très longue peine de privation de liberté jusqu’en 2013 ou 2015.
Erreur de frappe fallait lire 2033 ou 2025 avec une chaleur de 90° à l’ombre. Basta.
Les wolofs disent bien qu’il est facile de voler un tam-tam mais le plus difficile c’est de trouver un endroit où le battre. Ce rapport est une patate chaude entre leurs mains car ils ne peuvent l’exploiter d’une certaine manière sans que les noms de Cheikh Diba et d’El Amine Lo n’apparaissent en bonne place dans cette entreprise de supposée « falcification » de statistiques dont le régime sortant se serait rendu coupable.