Le beau-père viole sa fille adoptive de 11 ans

Le beau-père, indexé par sa fille adoptive âgée de 11 ans, a été déféré et placé sous mandat de dépôt. Selon L’Observateur, qui donne l’information, A. Mbodji, la grande soeur de la victime présumée, est tombée des nues en découvrant le lourd secret de sa jeune soeur : leur beau-père l’avait transformée en jouet sexuel.

«La semaine passée, aux environs de 14h, alors qu’elles étaient seules avec leur père adoptif à la maison, A. Mbodji, l’une des filles de F. Sylla, demande à sa petite soeur, Kh. Mbodji, de venir lui gratter la tête. Mais, une fois que sa sœur s’est approchée d’elle, A. Mbodji commence à sentir une odeur nauséabonde qui s’échappe des ha-. bits de la petite Kh. Mbodji», narre le journal. La même source confie que l’aînée a aussitôt demandé à la cadette de changer de robe. Cette dernière s’est empressée de s’exécuter. Mais, rien à faire : l’odeur persistait, constate L’Obs.

«[…]. Sur insistance de sa grande soeur, Kh. Mbodji va enfiler successivement deux autres robes avant de rejoindre [la première] dans la cour familiale. Seulement, d’après les explications de A.

Mbodj, la mauvaise odeur persistait toujours. Agacée par cette odeur nauséabonde, A. Mbodji finit par traîner sa petite sœur dans la chambre de leur mère pour y voir plus clair. Après lui avoir ôté sa robe, elle décide de vérifier tout le corps. C’est ainsi qu’elle fait une découverte horrible sur les parties intimes de sa frangine.»

Le titre du Groupe futurs médias souffle que «les parties intimes de la gamine étaient complètement infectées». Sous le choc, l’aîné contacte sa mère, F. Sylla, qui en déplacement à Dakar pour les funérailles de sa défunte soeur, au téléphone. L’Obs souligne toutefois qu’elle n’attendra pas le retour de celle-ci pour conduire la fillette au poste de santé du quartier Oncad. Qui transfère la patiente, «très mal-en-point» à l’hôpital Thierno Mouhamadoul Mansour Barro de Mbour. Où l’examen gynécologique atteste «d’une perte hyménale ancienne», de «plusieurs déchirures» et «d’une infection grave notées sur les parties intimes».

De retour à Mbour, F. Sylla, munie du dossier médicale de sa cadette et accompagnée de sa fille aînée, dépose une plainte contre son mari à la brigade de gendarmerie. Interrogée, la victime présumée maintient ses accusations contre son beau-père. Le maçon sera déféré malgré ses dénégations.