Les uppercuts, les directs, les swings, les crochets, l’avocat Djibril VAR (par ailleurs député de l’APR), connaît bien. Sans être un spécialiste du noble art, il a tellement donné et reçu de coups dans sa vie politique dynamique, que cela lui a taillé une petite réputation.
Avec l’âge et les turpitudes de la vie, on croyait pourtant qu’il avait changé. Mais voilà qu’on apprend que de nouveau, il a renoué avec les pugilats depuis l’Afrique du Sud d’où il revient de mission.
Il aurait en effet tabassé une dame, une de ses collègues, et se serait fait interpeller par la suite, par d’autres députés ( hommes cette fois ), mais Djibril nie farouchement cette info et parle de complot politicien avec une femme comme tête de pont, pour l’ humilier et l’intimider, avant de prochaines élections parlementaires. Ainsi, énervé, il aurait donc riposté en donnant deux ou trois petits coups » pas méchants » à l’intéressée, pour se dégager et s’abriter devant la furie des copains sud-africains qui voulaient lui faire sa peau.
Il faut toutefois espérer que Djibril qui ne doit pas trop regarder les Var, retiendra qu’ on ne croise pas le fer avec la gent féminine, car on ne gagne en aucun cas.
Si on tabasse une femme, les gens diront que c’est normal puisque l’homme a plus de force, et si on se fait tabasser par une femme, on se verra traiter de tapette ou de » Niak fayda’’.
CEBE