L’école nationale des Chroniqueurs innés (ENCI), n’a pas encore ouvert ses portes dans notre pays, mais n’empêche. L’idée peut-être bonne car de potentiels admissibles frappent déjà aux portes.
Ils sont divisés en plusieurs catégories. Ceux qui, comme Abdou N’guer, Abou Diallo, Kader Dia font feu de tout bois chaque matin pour en tirer substance comme dans l’affaire Adji Sarr, et des » artistes » comme « Sa Wolof, des redresseurs de torts cultivés, des Robin des Bois à la sénégalaise.
Ils ont cependant tous leur place dans notre pays. Les premiers parce qu’il y a tellement d’explosions de scandales dans notre pays depuis quelques années, qu’y trouver sa pitance est devenu jeu d’enfant.
Les l’autre, pour le même nombre de raisons, mais avec des objectifs différents, parfois contraires et nobles. Dès lors, pas difficile de choisir son camp.
Sébé