Odorico Gaston Madeira alias Charles Faye, est un journaliste et chroniqueur sénégalais né à Dakar. Il est le président directeur général du groupe de presse MaderPost.
En Afrique du Sud, à Joburg précisément, on aurait parlé de zoulou blanc, ou de black zulu, selon qu’on se trouve dans les quartiers riches de Sandton ou pauvres de Jeppestown.
Mais ici, ce n’est pas exactement la même chose. Cela peut juste donner quelque chose comme Lèbou toubab, même si Charles Faye est un mélange détonant de portugais, sérère, wolof, ndiago, bref, un produit du Djolof semé à tout vent, comme aurait fait le dictionnaire Larousse.
Absent depuis quelque temps de TFM, Charles Faye en dévoile les raisons : » Depuis un an, je suis à la retraite. Mais c’est maintenant que j’ai carrément décroché. Je vais m’occuper de mes propres affaires. Je suis dans pas mal d’affaires latentes ».
Ce dont moi (qui suis par ailleurs un de ses fidèles Talibés), je ne doute pas. Le farniente ? Des robots comme ça, ne se reposent qu’une fois démantelés.
Sébé