La ligue sénégalaise des droits humains (Lsdh) et Amnesty international avaient porté plainte contre l’État du Sénégal devant la Cour de justice de la CEDEAO. Et pour cause, ces défenseurs des droits de l’homme jugent plus que suffisants les dégâts provoqués par le fameux arrêté Ousmane Ngom. La Cour de justice de la CEDEAO qui a rendu son verdict, a ordonné son abrogation. Elle a jugé que l’arrêté violait la liberté de manifestation, entre autres. Après avoir débouté les requérants de leur demande de réparation pécuniaire, l’institution judiciaire sous-régionale a condamné l’État du Sénégal à prendre les mesures nécessaires pour abroger ledit arrêté. Mieux, elle lui impartit un délai de trois mois pour faire un rapport sur l’état d’exécution de la mesure.
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