L’offre de services pourquoi garde d’enfants reste très faible au Sénégal. En effet, le laboratoire de recherches sur les institutions et la croissance (LINC) de l’Université Cheikh Anta DIOP (UCAD) en collaboration avec l’Université Amadou Mahtar MBOW de Diamniadio ont partagé les résultats de leurs recherches sur la « Classe moyenne féminine et demande de service de presse ».
AU Sénégal, les acteurs ont pu observer que l’offre est relativement faible, avec 17% d’enfants de 0 à 6 ans qui ont accès à ce service. Un projet financé par le Centre de recherches pour le développement international (CRDI). Selon le coordinateur du projet, François Joseph Canal, ce sont les résultats d’un travail qui a commencé en 2021 sur quatre (4) pays, au Bénin, au Burkina Faso, en Côte d’Ivoire et au Sénégal, avec l’idée de voire comment est ce qu’on peut adosser le problème des femmes qui sont contraints par la garde d’enfants alors qu’elles doivent aller travailler, pour un avancement dans leur profession. « C’est une problématique que tous les pays partagent.
Au nord des modèles ont été expérimentés qui ont permis de desceller cette contrainte par des politiques publiques. C’est raison pour laquelle nous avons voulu mener une recherche pour alimenter l’aide à la décision.
Pour le cas du Sénégal, ce que nous avons pu observer ce que l’offre est relativement faible. Ça représente 17% des enfants de 0 à 6 ans qui ont accès à ce service. La conséquence vous le deviné, ce que les femmes auront de plus en plus du mal à accéder au marché du travail », dit-il.
Pour la représentante du ministre de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants Mme Fatou Diane, au mois de mars passé, le président de la République avait donné des instructions. » C’est ainsi que les assises de l’entrepreneuriat féminin et de l’autonomisation de la femme se sont tenues . « Cela nous a permis et de voir les problèmes des femmes. Les services de garde d’enfants, étaient l’un des facteurs évoqués, qui bloque les femmes », renseigne-t-elle.
Maïmouna Cissokho, directrice générale de l’Agence national la Case du Tout Petit a pour sa part, indiqué que c’est une étude qui vient en son heure en accompagnant le travail qui est en train d’être mené au sein du ministère de la Femme, de la Famille et de la Protection des Enfants sur l’autonomisation des femmes. « Notrr structure est là pour accompagner. C’est avec un grand honneur que nous sommes impliqués avec nos équipes techniques », laisse-t-elle entendre