Beaucoup de gens, surtout les journalistes, adorent converser avec l’ancien Dg de Ddd. Il ne fait jamais dans la langue de bois, et il n’existe pas de sujets dont il ne peut parler, quand cela concerne la République. C’est ce qui explique ses nombreux déboires (dont le renvoi du poste de Dg de Dakar Dem Dikk), mais aussi la difficulté à s’adapter dans les autres coalitions comme Yewwi Askan Wi. Mais il y a encore mieux chez Moussa Diop : « Bokko diokhé leuweul, danga diokhe deuxième ». Pas de demi-mesure chez lui, pas de discrétion coupable ou complice, non plus. Droit au but ? Voilà la devise, les dégâts viendront après. Ainsi, pour Karim Wade et Khalifa Sall, inutile de chercher de midi à 14 heures pour avoir son sentiment sur leur candidature à la prochaine présidentielle. Dès lors qu’ils sont impliqués dans une affaire de détournement de deniers publics et d’enrichissement illicite, cela suffit pour ne plus leur confier la gestion de l’Etat. En 2024, ils ne doivent pas, ou n’ont pas le droit d’être des candidats pour les élections présidentielles. C’est la loi sénégalaise qui s’applique. M « Telma » se dit donc contre leur amnistie et les déclare inéligibles. Quid des ambitions de Big Mack ?
« Kif-kif. Samba ay Bathie « , rétorque t’il. Avant d’ajouter : « C’est mon grand-frère, mais il a déjà fait ses deux rakkas et doit retourner à la maison, terminer son wird et nous proposer un remplaçant. Sinon, nous allons nous en charger nous-mêmes. Faut savoir garder des forces pour plus tard.
Sébé