« Sama woudiou toubab », vous vous souvenez ? C’est ce fameux téléfilm sénégalais de « Pikini Productions, avec un « Père Mbaaye » éblouissant, un grand artiste qui nous a tenus en haleine des saisons durant.
Mais « Sama woudiou toubab la », c’est également l’œuvre de Alioune Ndiaye, un journaliste des premières heures de Walf, dont le talent n’a jamais souffert de conteste. Sauf que depuis qu’il a remisé sa plume pour les beaux yeux du septième art et un flirt avec la politique, ses prises de positions publiques sont devenues floues, méconnaissables pour ne pas dire plus. .
Désormais « Defar ba mou bakhe » semble la devise, et Alioune ne perd aucune occasion pour nous rappeler qu’il y a des cœurs qui battent « à droite ». quand bien même ses raisons sentent parfois le souffre, au détriment de l’objectivité. Concernant les insultes tant décriées sur le Net par exemple, l’ancien de Walf n’y va pas par quatre chemins. Il les attribue toutes aux « pastefiens » de Sonko sans aucune précaution, sans prendre la peine de vérifier son info, alors que tout le monde sait que la fabrication des faux comptes et autres falsifications sur Internet, est devenue jeu d’enfant.
Alors, à quoi attribuer cette légèreté dangereuse dans le traitement des informations distillées au grand public, même si certains lui reprochent de ne pouvoir souffrir certains hommes politiques, même en peinture?
Sébé