Y’a pas qu’Eiffage pour se créer des trucs qui rapportaient gros, d’abord en se servant de l’argent. Du contribuable.
Ici en Afrique, nous apprenons vite. Et quand les moyens ne suivent pas pour nous permettre de réaliser tout ce que nous avons appris, nous nous tournons vers le couper/coller, ou la récup’.
Qui aurait imaginé un jour faire payer les gens rien que pour la traversée d’un gué ou d’une flaque d’eau à partir d’un simple arbre jeté en travers ? Personne, bien sûr. Sauf celui qui a eu l’idée géniale, qui a installé ce pont de fortune et qui fait payer ceux qui veulent se rendre de l’autre côté sans se mouiller. Il fallait simplement y penser. Désormais le Sénégalais Sénac a des concurrents dans le domaine du péage.
Cebe