En vue d’améliorer la productivité des chaînes de valeur agricole dans le bassin arachidier et les zones agropastorales, le Sénégal et le FIDA ont signés ce Jeudi un accord de financement dans les secteurs de l’agriculture et de l’élevage pour un coût global de 17,3 millions d’euros, soit 11 milliards 300 millions de francs CFA. La signature s’est tenu sous la présence du ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération, Amadou Hott et du représentant du FIDA.
Le Sénégal en partenariat avec le FIDA vont mettre sur pied un programme de compétitivité de l’agriculture et de l’élevage axé sur les résultats (PCAE-PforR). Sur la base d’un Co-financement, le projet est estimé à près de 11 milliards 300 millions de francs Cfa, soit 17,3 millions d’euros. Ceci va constituer un prêt de a Banque mondiale en faveur de l’Etat du Sénégal visant à « améliorer la productivité des chaînes de valeur agricole, notamment l’accès au marché des produits de base de l’agriculture et de l’élevage dans le bassin arachidier et dans les zones agropastorales du Sénégal.
Sous un autre angle, ce programme compte s’investir également dans d’autres programmes phares dont le PAFA, le PAFA-Extension, le PADAER II et Agri-Jeunes Tekki Ndawñi. Pour justifier que le FIDA a déjà fait plusieurs investissement confirme le Ministre Amadou Hott. Selon lui, quelques 900 000 agriculteurs devraient bénéficier de cet important programme, dont 50% de femmes et 30% de jeunes agriculteurs.
Et d’ajouter que Toutefois ce programme va permettre d’assurer la cohérence et de la complémentarité dans la mise en œuvre de tous ces projets destinés aux mêmes cibles en vue d’une meilleure efficacité de leurs interventions renseigne t-il.
Ainsi, Amadou Hott informe que les principaux bénéficiaires dudit programme seront des petits exploitants, des coopératives, des commerçants, des transporteurs. Vu la grandeur du programme le Ministre s’est dit satisfait du FIDA pour son appui constant visant pour le Sénégal qui ne cesse de chercher à les gros pour améliorer la sécurité alimentaire et augmenter les revenus des populations rurales.