Le 18 SAFAR, est un jour d’Action de Grâce ; mais il est une vérité telle qu’une reconnaissance n’est jamais exprimée à quelqu’un dont on n’est pas l’obligé. Comme tout disciple, c’est un jour de grâce et de prière. Comme l’a toujours célébré feu El hadji Babacar Kébé, dit Ndiouga, un fervent disciple du mouridisme et a beaucoup œuvré pour la confrérie et durant le Magal de Touba.
Sa fille Sokhna Momy Kébé a suivi les pas de son père et ne lâche pas prise. Elle a encore célébrer ce grand événement de la confrérie mouride dans laquelle elle est née et grandi comme en respectant les recommandations de son fondateur cheikh Ahmadou Bamba.
Dans sa résidence à Touba ce sont des moments riches et diversifiés lors desquels le livre Saint du Coran a été parcouru plusieurs fois, les xassidas de Serigne Touba , des dizaines de bêtes immolées et distribuées au profit des concessions voisines,
Comparé à d’autres personnes qui ne respectent pas les recommandations, Sokhna Momy suit les pas de son père qui sortait des sommes colossales pour assister les familles les plus démunies pour qu’eux aussi puissent célébrer le Magal comme tout talibé. En tout cas pour certaines personnes Sokhna Momy Kébé est une personne très sociable et ouverte comparé à ces femmes d’affaires de Touba qui font du Bamboula. Momy Kébé est toujours concurrencée mais jamais égalée. Et Momy n’est pas dans des détails comme le font certaines grandes femmes de Touba .
Elle suit à la lettre depuis des années comme son vénéré père Ndiouga Kébé l’a toujours fait en suivant les recommandations du cheikh qui sont » Tout individu que l’occasion de ce jour trouve quelque part, est prié d’y consacrer toute la mesure de ses possibilités sans restrictions et ce, du sacrifice des espèces allant du chameau à la poule, chacun, individuellement, est prié d’intervenir avec les moyens d’oblation dont il dispose. »