Depuis quelques temps la commune de Walaldé et son maire Moussa Sow ont été la cible de francs-tireurs dans une presse, notamment dans un journal de la place alimenté à souhait par des adversaires parfaitement identifies qui ont perdu le bon sens en déversant des contrevérités dans le but de tromper, d’insulter et de se glorifier avec ou sans frais. Mais ceux qui connaissent ont bien souri ; il faut plus que ça pour ébranler le roc car la cible est un dur à cuire, fort de son expérience politique et adossé à une base solide. Cette attitude des adversaires du maire cache mal deux lapalissades : la jalousie morbide et l’échec de la revanche des battus.
De quoi s’agit-il ?
Walaldé a reçu la commission d’enrôlement pendant 2 jours. Au 2eme jour aux environs de 22 heures alors que les derniers dossiers sont en traitement l’hôtel de ville où se déroulaient ces opérations a été la cible de jets de pierres par des jeunes. Une vitre cassée et le tableau lumineux également touché ont été les dégâts. Aucune rixe n’a suivi car les auteurs ont aussitôt disparu dans les ruelles profitant d’une coupure de courant qu’ils auraient même provoquée. La gendarmerie, arrivée sur les lieux, n’a pas eu de difficultés à être renseignée sur certains auteurs et leurs commanditaires (Nb : les enfants n’ont pas mis de temps à dénoncer leurs camarades, ainsi de suite). Convoqués a la brigade de Demeth les mis en cause ont été entendus et certains arrêtés puis relâchés 24 à 48 heures après et les PV transmis au procureur. Tous ont été téléguidés par le camp de l’immigré seybatou Aw . Les réunions pour ce forfait ont été bien tenues chez un des obligés du sieur Aw. Le camp de Moussa Sow n’avait pas vu venir, car pendant les 2 jours de longues files faisaient face à une commission d’enrôlement débordée et qui officiait jusqu’à tard dans la nuit.
Sur les motivations du camp adverse il y a lieu de préciser que faute de militants et d’un travail de base conséquent les adversaires du maire n’avaient que leur amertume pour constater leur faiblesse notoire au regard des statistiques. En effet c’est moins d’une trentaine de personnes qu’ils ont sur les mains et leur irréel rêve de revanche qu’ils nourrissaient depuis leur mémorable défaite de 2014 face au maire Moussa Sow (qui avait remporté tous les bureaux de vote ) s’est transformé en réveil brutal.
Des mensonges ont été distilles par la suite tendant à faire croire qu’il y a un refus de délivrer des certificats de résidence. Que nenni. Walaldé est un gros village « où tout le monde se connait ». Jamais il ne peut être refusé à un résidant bien identifié de Walaldé la délivrance d’un certificat de domicile ou de résidence !
Démenti sur les relations sociales et politiques tendues entre les habitants de Walaldé
Une contrevérité savamment distillée a fait croire qu’il y aurait eu un combat aux relents ethnicités entre acteurs politiques. Il n’en a jamais été depuis toujours.
Les adversaires du maire ont vraiment mal et rien ne les arrête : ni la morale, ni l’élégance, ni la vérité.
Ils occultent de dire que le maire moussa Sow est un walaldois de souche entouré par tous les segments sociaux et historiques face à son adversaire « dokhandeme » un « venant de » (‘’arani’’ en poulaar) qui n’a pas beaucoup de parents ici et qui cherche à se faire un nom bien tardivement d’ailleurs du haut de ses 75 ans d’âge.
Ils auraient pu dire que le maire est issu d’une famille « galogaynako » qui était d’antan la plus courtisée de Walaldé qui tenait le sommet de l’économie villageoise, de ses aïeux à nos jours ( eux-mêmes ont été les porte serviettes de leur jeune frère moussa Sow qui a dirigé longtemps la jeunesse walaldois dans toutes les activités de vacances, capitaine d’équipe, footballeur populaire, etc…, bref ça ne date pas d’aujourd’hui machaallah), qu’il est mieux entoure et sécurisé car relevant d’une famille ancrée et étendue, et que tous les segments traditionnels avec qui il partage l’histoire millénaire de Walaldé le soutiennent.
Au lieu de préserver le respect que les walaldois ont eu à donner à son grand père propulsé chef religieux, à son père et ses oncles, respectés à leur époque, le perdant de 2014 et le candidat pour 2022 plongent la famille religieuse dans la politique pour assouvir leurs rêves pouvoiristes. Tout s’est effrité autour d’eux de par leurs fautes car Walaldé a pris ses distances et son indépendance religieuse. Des mosquées pullulent partout à leur insu, des ziaras font légion. Pendant 14 ans Moussa Sow inspecteur des impôts et domaines a préside l’association de Walaldé, au Sénégal et dans la diaspora, qui organisait la seule ziara de l’époque dédiée a leur grand-père. De cette entreprise grandiose et unique il ne reste rien par la faute de ces deux apprentis politiciens. Certains membres de cette famille ne partagent pas la ligne politique qu’ils ont imprimée dans cette fonction religieuse et sont restés en dehors et maintiennent avec les walaldois des relations privilégiées. Le maire compte parmi ces derniers des soutiens.
Malgré les rappels a l’ordre faits par d’autres familles religieuses du Fouta, et surtout par leur village d’origine ( madina ndiatbe) ces politico-religieux restent têtus et sourds aux appels qui leur intiment de faire la part des choses entre la politique politicienne et la gestion religieuse.
La commune de Walaldé , le respect des valeurs de la république et sa situation politique actuelle.
C’est avec regret que les lignes ci-dessus ont été écrites sur des considérations sociales. En effet c’est gênant pour plusieurs raisons ; mais de partout les milliers de parents, d’amis, de sympathisants et de walaldois nous ont exigé de répondre juste et vrai. Nous sommes en république et quand on aspire a diriger une collectivité humaine on doit se départir de certaines considérations. Si on s’engouffre dans ce domaine beaucoup de gens dans son entourage et lui-même auront la tête basse. Oui il faut laisser certains pans de l’histoire dormir, voire mourir définitivement.
Moussa Sow avec sa cote de popularité en hausse exponentielle dans le département de Podor a gardé encore depuis 2004 son niveau de popularité et de représentativité, du fleuve au dieri.
A Walaldé il a été le seul à avoir réalisé plusieurs fois l’unanimité ; par exemple lors de son élection de députe en 2007, puis maire élu à l’unanimité en 2009 et 2014. Oui même en 2014 les conseillers du camp perdant l’ont élu sans opposition.
Mais qui a dit qu’il y a une opposition basée sur des considérations ethniques ou de castes :
Walaldé compte huit mille (8000) habitants décomposés en sebbes, torobes, soubalbes et gallounkoobes , tous ces groupes ayant sensiblement le même nombre
L’équipe municipale dirigée par Moussa Sow maire, par exemple, compte Mr ardo Dieng 1er adjoint au maire qui est un Farba Walaldé, Oumou Koursoum Kome son 2eme adjoint au maire qui est dialtabe Walaldé, Dahirou Amadou Ba son Secrétaire Général de tendance depuis 2004 qui est un Diom Walaldé, Demba Sarr coordonnateur communal de l’APR qui est de son camp est un diemayo Walaldé, ( celui-là n’a jamais oublié que Macky venu en 2009 à Walaldé lors de sa tournée d’implantation de son parti, Moussa Sow avait fortement contribué pour la réussite de son accueil en moyens logistiques et financiers. ADD coordonnateur départemental le sait parfaitement).
Sur les 6 délégués de quartiers nommes par moussa Sow on compte 3 torodos 1 tiède, un tioubalo et 1 gallounké.
Au plan des réalisations vous n’entendrez, de leur part, aucune critique sur le management de la commune. Walaldé a eu la chance d’avoir à sa tête un haut fonctionnaire (inspecteur des impôts et domaines) qui a sorti ce gros village de la faiblesse notoire de son patrimoine infrastructurel. Aujourd’hui Walaldé sans ressources propres compte :
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Une 2eme école élémentaire
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L’électrification et l’éclairage public de Walaldé
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Une case des tout-petits (la 1ere dans l’ile a morphil)
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Un marché doté récemment d’une chambre froide
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Un poste de sante de référence avec 2 ambulances qui servent tous les villages environnants
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Un hôtel de ville standing et bien équipé (ils ont fait casser des vitres puisque leur rêve de l’occuper est maintenant un cauchemar)
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Un centre multifonctionnel dénomme ‘’ Centre Pierre Bédier’’ fruit d’un partenariat avec les Yvelines /France
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Une Maison des Jeunes et de la Culture doté d’une aire de spectacle
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Un stade municipal en cours de réalisation
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La clôture du cimetière et l’endiguement contre l’érosion fluviale
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La dotation régulière de fournitures scolaires, d’équipements sportifs et de matériels d’allègement de travaux féminins et agricoles depuis plus de 10 ans
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La mise en place de plusieurs projets économiques dans le domaine de l’agriculture et de l’élevage,
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L’octroi et l’encadrement pour des financements de projets
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La création et la multiplication démocratique de plusieurs organisations communautaires de base
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Des centaines de jeunes formés dans divers métiers
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Le partenariat et le soutien actif aux étudiants ressortissants de Walaldé depuis avant la communalisation de Walaldé en 2008.
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Nb : la communalisation de Walaldé est une œuvre personnelle de Moussa Sow
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Etc…….
Le clan des battus
Mais finalement de quoi parlent ces piètres politiciens ? Tout ça pourquoi : la jalousie et la méchanceté contre une personne portée en haute estime, comme jamais auparavant, dans la commune de Walaldé et dans le département de Podor. Parmi eux un syndicaliste qui a totalement échoué et dont la trajectoire est truffée de violences à la bourse du travail de Dakar (évènements douloureux à la bourse du travail ayant entrainé l’emprisonnement de ses neveux en lieu et place de ses propres enfants) ; celui-ci cherche une nouvelle virginité politique et un rêve de devenir adjoint au maire au crépuscule de sa vie. Ainés de plus de dix (10) ans de l’actuel maire, le candidat et ses proches lieutenants comptent tous plus de 70 ans d’âge.
Un jeune très volubile et adepte des plateaux de télés et de radios n’a jamais organisé une réunion ou invité des jeunes de la Cojer départementale (qu’il dirige depuis plus de 7 ans) dans sa commune de Walaldé, de peur d’être noyé chez lui-même par la jeunesse de Moussa Sow. La jeunesse départementale se pose toujours la question à ce sujet sans aucune réponse de l’intéressé.
Battus en 2014 ils viennent de reconnaitre, par leurs actes, leur infériorité morale et numérique.
Moussa Sow étant le candidat naturel de l’APR à Walaldé, tout ce manège relève d’une danse de saltimbanques tendant à tromper le parti.