A la télé, il y a quelques semaines, personne ne semblait la connaitre ou la reconnaître. Du moins dans un premier temps.
Tantôt on nous la désignait comme une directrice de la communication et du marketing d’une boîte établie à la Sicap, tantôt comme une féministe, une journaliste franco sénégalaise en villégiature dans le pays, qui était tombée sur l’affaire Adji Sarr Sonko, par pur hasard.
Mais une ou deux heures plus tard, comme une certaine Françoise Hélène Gaye, elle commença à montrer qu’elle avait choisi de défendre Adji Sarr la « pauvre » orpheline, même si elle jurait sur ses grands dieux ne faire que son travail de journaliste, en toute objectivité, sans parti pris.
Curieux tout de même….Mais plus curieux encore, car aucun confrère ne pouvait dire où elle travaillait en France.
Ce n’est que plus tard qu’on apprit qu’elle bossait dans une librairie, et qu’elle saisissait toutes les occasions qui lui étaient offertes, pour faire des selfies avec des célébrités et des personnalités (y compris Macron).
A quelles fins? Pour vendre une fausse familiarité ou se faire passer pour ce qu’elle n’est pas, disent ses détracteurs.
Mais, comme justement ses détracteurs sont ses détracteurs et non ses amis, nous en resterons là pour le moment, sur le chapitre des confidences…sous serment.
A moins que…..
CEBE