Notre ministre de l’Environnement et de la Faune dynamique n’a vraiment pas son pareil.
Après avoir utilisé certaines de nos antilopes dont l’un des Oryx, il déclare aujourd’hui qu’il clôt le débat.
Même si on ne sait pas s’il a rendu les animaux ou pas, il dit que l’histoire s’arrête là et qu’il vaudrait tourner la page.
Et pourquoi donc ? Selon lui, il aurait consulté une organisation internationale chargée de ce genre de dossier qui lui aurait assuré, que quand des animaux sont transférés d’un pays à un autre, c’est là où on peut parler d’un danger.
Mais c’est quand à l’intérieur d’un pays, surtout si on s’occupe bien d’eux, il n’y a pas de quoi fouetter un chat.
Au contraire nous nous devons de remercier le bienfaiteur.
Et comme dans ce contexte des Oryx, Sall serait le bienfaiteur.
Eh bien oublions l’histoire de ces gros chats et disons « Waw gor » à Mr le ministre de l’Environnement.
Lui au moins aime les histoires et les Oryx grillés.
« Waw gor Sall Ngari ».
CEBE