La polémique sur le site extractive de pétrole et du gaz dans la région de Kédougou va prendre fin car des points d’attente ont été trouvés entre les sociétés extractives, les bailleurs et les autorités sénégalaise. Aprés le retrait des licences d’exploitation, ces entreprises acceptent de payer désormais les taxes qui seront fixés par l’Etat du Sénégal.
Depuis 2019 le débat sur les découvertes de pétrole et du gaz aux larges des côtes sénégalaises déclenche l’intérêt des investisseurs nationaux quant à la part du secteur privé sur les retombées économiques des projets découlant de l’industrie pétrolière et gazière en cours et à venir. Compte tenu de l’exploitation qui exige l’obtention d’une licence, ces entreprises extractives acceptent le retrait des licences d’exploitation des mines de Kédougou par le nouveau gouvernement du Sénégal mais posent des conditions. Une possibilité d’exploitation de ces ressources est établie. Selon Bassirou Marone, un homme d’affaires sénégalais dans le secteur des hydrocarbures dresse quelques étapes et programmes pour une meilleure exploitation. Contenu de son expertise, il estime que « la découverte du pétrole doit être accompagnée d’une expertise avancée pour ne pas être de simple amateur sur le partage du gâteau.
Par précisions, ces derniers exigent le paiement des taxes de la part des autorités pour que les bailleurs puissent en bénéficier pour ne pas ressentir les impacts de la rupture de se contrats entre ces entreprises et l’Etat du Sénégal qui a récemment débuté l’exploitation de ces ressources aux larges des côtes sénégalaises depuis presque plus de 05 ans. Ainsi il est important que le gouvernement puisse toujours tenir compte une question très important « Quelle est ma part de marché ? » pour éviter ce genre de problème dans ce projet fait-il savoir.
L’Etat du Sénégal doit en prélude se préparer sur tous les moyens nécessaires pour que le Sénégal puisse avoir un partenariat gagnant gagnant. Et selon l’expert, on ne peut pas parler d’exploitation sans parler de la part du marché mais également l’impact sur les différents secteurs et entreprises locales explique Bassirou Marone. Selon lui, en 2024, le Sénégal sera pays producteur de pétrole ; des lors une question légitime s’impose en tant que homme d’affaire: « Quelle est ma part de marché ? ». Une exploitation estimés aujourd’hui à près de 5 milliards de dollars américains, ainsi que de nombreux équipements et technologies qui, sans un encadrement juridique spécifique, seraient majoritairement importés.
Sur ce, l’utilisation de la main d’œuvre locale et la participation des entreprises nationales aux activités pétrolières et gazières ne peuvent être optimales que si les défis liés à la faiblesse des capacités techniques, technologiques et économiques des entreprises locales et ceux liés à la qualification professionnelle de la main d’œuvre sont relevés. D’autres part, on peut aussi résoudre le problème du chômage à grande échelle.
Ainsi, la projection des emplois directs est estimée à 10.000 d’ici 2035 et 90.000 emplois indirects et induits (un total de 100.000 emplois générés), sachant que les projections de la population active sont estimées à plus de 12 millions de sénégalais, d’ici 2035 selon les estimations.
Perspectives et Opportunités sur le Pétrole et le Gaz au Sénégal
Depuis 2019 le débat sur les découvertes de pétrole et du gaz aux larges des côtes sénégalaises déclenche l’intérêt des investisseurs nationaux quant à la part du secteur privé sur les retombées économiques des projets découlant de l’industrie pétrolière et gazière en cours et à venir. Une possibilité d’exploitation de ces ressources est établie.
Vue la situation, Bassirou Marone, connu dans le secteur des hydrocarbures n’a pas manqué de dresser des orientations pour une mise en oeuvre de quelques étapes et programmes pour une meilleure exploitation. En tenant compte de ses expériences et de son expertise; il estime que « la découverte du pétrole doit être accompagnée d’une expertise avancée pour ne pas être de simple amateur sur le partage du gâteau. On ne peut pas parler d’exploitation sans parler de la part du marché mais également l’impact sur les différents secteurs et entreprises locales a fait savoir Bassirou.