Après l’acte déguerpissement au marché Colobane, les jeunes du quartier ont convenu d’aménager le marché les 13 et 14 juillet avec des potes de fleurs et les commerçants du marché disent non il affirme attendre les jeunes les affronter s’il faut ils ne bougeront pas d’un pouce.
Réaménagement des allées et des espaces de circulation .Élargissement et revêtement des principales allées pour faciliter la mobilité des clients et des commerçants, délimitation claire des zones de stationnement et de déchargement des marchandises, édification de structures plus solides et mieux abritées pour protéger les commerçants des intempéries.• Éclairage renforcé dans les zones sombres, caméras de surveillance pour assurer la sécurité des commerçants et des clients, campagnes de sensibilisation auprès du public sur le respect des règles du marché.
C’est à l’issue d’une réunion qu’a tenue le collectif Colobane “ la deuk” ou les habitants du quartier de Colobane ont décidé de réaménager le marché Colobane chose impossible selon les commerçants qui sont au marché Colobane. Mbaye Seck vendeur de friperies ambulant dit que les jeunes de Colobane veulent détruire leur business une bonne fois pour toute : “ Un marché n’est une place publique où on installe des fleurs et plantes, nous sommes des pères de familles et nos familles risque d’être touché par cette situation car si nous travaillons pas comment pourrons nous faire pour les envoyer de l’argent, les jeunes du quartier sont n’ont aucune pitié pour nous si non il n’allait pas essayé de faire déguerpir depuis des semaines” .
Lamine Samb vendeur de chaussures sur le trottoir qu’à lui dit qu’il ne bougera pas d’un mètre : “ Nous gagnons notre vie dans ce marché donc si nous risquons de le quitter nous allons nous retrouver à la rue donc juste pour dire que moi personnellement je ne quitterai pas ce marché même si j’y laisse ma vie cette aménagement ne risque pas d’avoir lieu et pour cela nous avons décidé de passer les nuits du 13 au 14 juillet dans le marché, nous n’allons pas rentrer chez nous pendant ces deux nuits “ .
Fatou Ba