Cette réponse pas très policée à l’endroit de certains de nos « religieux », pourrait bien se retrouver dans la bouche de nombreux sénégalais qui commencent à avoir ras le bol de certains chefs qui se réclament guides religieux. Du coup, y en a marre.
Tout le monde explose. Tout le monde s’énerve: « Ils n’ont qu’à continuer leurs menaces, ces enf….rés. De quelque nouveau saint, ils peuvent encore charger leurs prônes hebdomadaires et les carnets de parrainage de leurs ouailles politiques. Nous, nous restons à la maison, avec nos amours agnostiques, nos saints parrains.
Et, sans nulle crainte. Waw ! Qu’est-ce qui se passe aujourd’hui ? Que m’arrive-t-il. La chaleur ? L’atmosphère politique délétère? En tout cas, excusez-moi cette longue parenthèse. Qui n’a pas trop à voir avec le sujet. Ce ne sont que des réflexions perso gratuites. Elles ne servent que de préambule à la dénonciation au discours de l’Agha de Kaolack qui rouspète parce que la nouvelle route du quarter s’arrête à quelques centaines de mètres de son domicile.
Mais avant moi, Big Mack a eu à réagir. Quand l’Agha a profité de sa visite pour solder ses comptes politiques, avec un zeste de mise en garde, voici ce que lui a répondu le « mawdo-gallé de Sall-counda : «si nous n’obtenons rien à Kaolack, ce n’est pas grave». Peut-on être plus clair ?
Sebé