A lui seul, c’est un homme orchestre, de symphonie, je précise. Mais l’enseignant syndicaliste chroniqueur, semble avoir pris plus de poids, depuis. Il est sur presque tous les fronts.
Au début, quand Dame Mbodj rencontrait des cas d’injustice dans la rue ou dans l’arène, il ne rentrait jamais à la maison sans les avoir résolus. Un bon défenseur du peuple en somme, contrairement aux haut-parleurs en robe qui se réclament de la même matrice..
Voilà pourquoi, il y a deux ans, même ayant échoué au concours des députés ( grâce aux bons soins de Père Khaf le ciseau socialiste qui avait « oublié » de l’inscrire sur la liste des partants de la coalition Yewwi Askan Wi), Dame n’en avait pas moins gardé la sympathie des Sénégalaise. « Moins 5 », d’ailleurs, Dame a failli devenir député comme le souhaitait le grand sachem de Pastef. Mais « mutatis mutandi » ( N.B: mutatis mutandis est une locution adverbiale latine que vous pouvez traduire par » ceci étant dit » ou les choses étant ce qu’elles sont. », selon les contextes. .C’est une expression vraiment raffinée que vous pouvez utiliser, par exemple, quand vous invitez chez vous un vrai prof de français ou un grand universitaire qui ne fait pas trop de confusions dans ses discours, contrairement à ce qui est devenu habituel chez certains praticiens du droit. Ça fait classe, quoi !
Mais revenons à notre Dame. D’accord, il n’a pas été ,investi sur les listes de Yewwi Askan Wi, mais c’est comme si. Maintenant, on comprend mieux les regrets de Abd El Sonko « Mou Pank mi » comme auraient certainement dit les arabes.
Peut-être qu’en 2024……cela pourrait changer pour le redoutable professionnel de la rhétorique, le chouchou de la presse en « ligne » non alignée, en temps normal.
Sébé