L’homme a des penchants grégaires naturels. Il vit en groupe et résiste mal à l’isolement. Et, pour une harmonie dans le groupe, il faut nécessairement œuvrer pour des rapports pacifiés, humanisés. Au grand dam de ceux qui dans toutes les organisations, ne cherchent qu’à alimenter la haine, la méchanceté, l’égoïsme. Pour contrer les velléités de cette catégorie de personnes qui pullule surtout dans le landernau politique sénégalais, il faut organiser et pacifier les rapports dans le groupe.
Organiser cela signifie ordonner divers éléments de façon à former un tout confère dans ce cas on parlera d’ordre social. L’enjeu de la politique, aujourd’hui, c’est de faire en sorte que les hommes réussissent à vivre ensemble afin d’assurer la survie du groupe, au nom de l’intérêt général. Mais aujourd’hui, vous voyez que beaucoup de Sénégalais, surtout les jeunes, ne s’intéressent plus vraiment à la politique par le simple fait qu’ils considèrent les acteurs politiques comme des gens qui font régner l’instabilité, des ambitieux, qui jouent avec la «parole donnée». Ils s’engagent en politique souvent dévêtus du manteau de la probité pour accéder à des privilèges qu’ils sont prêts à conserver par tous les moyens. En tant que jeune j’appelle tous les concitoyens à remettre en cause ces pensées négatives et savoir que la politique est d’abord et surtout sacerdoce.
Aujourd’hui, chaque jeune mérite d’être un cadre politique, un acteur de développement, ou même un détenteur de groupe ou d’un parti politique qui visera à prôner la stabilité sociale et faire régner la paix afin d’apporter sa pierre à l’édifice d’une Afrique nouvelle, qui saura relever les défis présents et futurs qui l’interpellent dans un monde de compétition.
Pour ce faire, il est primordial de bien choisir son camp, son champ et ses leaders politiques. Nous avons déjà fait le nôtre et vous invitons à rejoindre notre parti, le Mouvement pour la Démocratie et les Libertés (MODEL) pour bâtir, aux côtés du Président Ibrahima Sall, une 3eme voix pour Sénégal nouveau dans une Afrique Debout !
« La lumière est trop douloureuse pour quiconque veut rester dans l’obscurité »
Par Momar Sy, Membre du comité digital du MODEL